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Paris, 14 août (Reuters) - Renault a déclaré mardi que la situation de Nissan serait bientôt éclaircie, au grand dam des salariés du constructeur automobile japonais, qui attendent toujours des propositions de la part du constructeur français, dont la nationalisation a été annoncée le 23 août par Carlos Ghosn, président de la marque au losange. Les salariés de Renault ont appris mardi par la presse la nationalisation par l'Etat du constructeur japonais Nissan, a déclaré à Reuters un représentant du syndicat CFDT.

A la veille du conseil d'administration de Nissan prévu lundi, Renault a dit qu'il ne donnerait "pas de précision" sur la situation de son partenaire japonais. Il a cependant estimé que la situation serait bientôt éclaircie."Il faut un dialogue constructif entre les deux parties. A mon avis, ils vont trouver une solution", a déclaré à Reuters une source proche du dossier.

Le constructeur français a déjà dû verser 10 milliards de dollars à Renault pour le rachat de sa filiale en difficulté, Renault Nissan BV, et les négociations avec le gouvernement japonais se poursuivent.

Dans un communiqué commun diffusé après la réunion de mercredi, Nissan et Renault ont indiqué qu'ils allaient étudier la proposition de l'Etat japonais, qui a demandé que Nissan soit nationalisé "en tant que partie prenante d'une société cotée en bourse".

Nissan a fait savoir qu'il allait discuter avec l'Etat japonais de sa stratégie financière et industrielle après la nationalisation de Renault. Il devrait en discuter avec l'Etat français et d'autres parties prenantes.

"Nissan a indiqué que son conseil d'administration examine actuellement la proposition de l'Etat français", a dit Nissan dans un communiqué. "Après avoir pris en considération la proposition de l'Etat français, le conseil d'administration a décidé de se focaliser sur des solutions qui permettraient à Nissan de restructurer sa structure financière et ses opérations. Les discussions se poursuivront avec la France et les autres parties prenantes" (industriels, partenaires financiers, salariés).

Le gouvernement français a indiqué à plusieurs reprises qu'il ne comptait pas nationaliser Renault. Le ministre de l'Industrie, Christian Estrosi, avait assuré que Renault ne paierait pas de pénalités liées aux erreurs qu'il avait commises dans les comptes de Nissan.

Le ministre a dit qu'il avait appris que le constructeur français envisageait de nationaliser le constructeur japonais et qu'il était inquiet pour Nissan qu'il soupçonnait de ne pas avoir respecté les règles du contrôle des comptes de ses filiales. Il a précisé que Renault avait été informé par le gouvernement japonais du retard pris par Nissan dans ses comptes mais il n'a pas voulu préciser si le constructeur français avait demandé des pénalités.

Le groupe Renault et Nissan ont annoncé jeudi qu'ils se mettaient d'accord sur une offre commune pour le rachat de l'activité américaine de Renault en difficulté, ce qui pourrait conduire le constructeur français à nationaliser une partie de son activité aux Etats-Unis au nom de la sécurité nationale.

Les deux constructeurs ont annoncé jeudi qu'ils mettaient en oeuvre "une stratégie de restructuration en interne de leurs activités aux Etats-Unis". Ils s'engagent à ne pas augmenter leur capital social pendant cinq ans et à limiter leur endettement dans le pays. Ils s'engagent aussi à ne pas vendre de parts dans les deux sociétés, sauf à l'Etat français. Le conseil d'administration de Renault a approuvé cette offre, qui devrait être annoncée dans la soirée.

Le ministre de l'Economie et des Finances, Eric Woerth, qui avait proposé la nationalisation de Renault, s'est félicité de l'accord, estimant que "les principes sont posés", et il s'est déclaré confiant que ce plan de sauvetage serait respecté.

Le constructeur français a indiqué que cette offre de rachat de l'activité américaine de Renault avait été proposée à Nissan et aux principaux actionnaires de Renault, en l'occurrence l'Etat français et l'Etat japonais.

Le groupe Renault a dit qu'il allait étudier de manière approfondie les propositions de l'Etat français et d'autres parties prenantes. Le gouvernement français a annoncé mercredi qu'il avait demandé au constructeur de réfléchir à la possibilité de nationaliser sa filiale de fabrication de voitures en Corée du Sud, à travers la reprise par Renault de son activité en Corée du Sud.

Le ministre français de l'Industrie, Christian Estrosi, a estimé qu'il ne devait pas y avoir de "nationalisations déguisées". Il a déclaré que les dirigeants du groupe automobile Renault avaient évoqué avec lui la possibilité de nationaliser une partie de sa filiale en Corée du Sud.

Le constructeur français a déclaré qu'il allait étudier la proposition de l'Etat japonais de mettre Nissan et Renault à la disposition de l'Etat pour une période de cinq ans. Il a expliqué qu'il voulait être sûr que la restructuration de l'activité aux Etats-Unis de Renault, qui est en difficulté, sera menée à bien. Le plan de sauvegarde de l'emploi de Renault devrait être lancé sous peu, a-t-il ajouté.

La nationalisation de Renault devrait intervenir en deux temps: dans un premier temps le constructeur français devra se désengager de l'activité américaine de Renault, dont il détient 30% du capital et qu'il va céder dans un second temps à Nissan, sous la forme d'un échange d'actions et de titres, a-t-il expliqué. Selon le ministre français, un échange d'actions et de titres de Renault et Nissan est un préalable à la nationalisation de l'activité américaine.

Le ministre français a indiqué qu'il allait "étudier la possibilité de nationaliser une partie de la chaîne de montage de la voiture Renault, en Corée du Sud". Le ministre a déclaré qu'il souhaitait que la filiale de Renault en Corée du Sud soit un exemple de restructuration à grande échelle. Il a précisé qu'il avait demandé à la direction de Renault de réfléchir à la question.

Le ministre français a dit qu'il fallait prendre en compte "les intérêts de tous", en soulignant que le gouvernement français ne pouvait pas être le seul acteur à vouloir nationaliser Renault.

"Le gouvernement, les autres acteurs, les syndicats, les élus locaux, les partenaires financiers, la famille et les employés de Renault ont un intérêt commun: sauver l'industrie automobile française", a dit Eric Woerth.

Le gouvernement français a demandé à Renault de nationaliser en partenariat avec l'Etat la moitié de ses activités américaines pour "renforcer la sécurité nationale", a-t-il déclaré à la presse.

Le gouvernement a également demandé à Nissan de mettre en vente une participation de 15% dans Renault, a déclaré à la presse le ministre français de l'Economie et des Finances, Eric Woerth, ajoutant que les autorités américaines et françaises "étaient d'accord sur cette proposition".

Le ministre français a estimé que "la nationalisation de Renault est un processus qui ne peut pas se faire en trois jours". Il a précisé que l'Etat français avait demandé à Nissan et à Renault de réfléchir à la mise en oeuvre d'une "réponse industrielle coordonnée" à la crise de Renault.

Le ministre français a indiqué qu'il espérait que le gouvernement américain et les autorités françaises prendraient "des décisions" en faveur de Nissan. Il a dit espérer que le gouvernement américain mettra en oeuvre une "stratégie" pour "améliorer le développement des véhicules électriques". Il a indiqué que son gouvernement avait proposé à Renault et Nissan de réfléchir à la mise en oeuvre d'une "réponse industrielle coordonnée".

Le gouvernement français a demandé à Renault de mettre en oeuvre une "stratégie" pour "améliorer le développement des véhicules électriques", a déclaré Eric Woerth.

Le ministre français a déclaré qu'il espérait que le gouvernement américain mettrait en oeuvre une "stratégie" pour "améliorer le développement des véhicules électriques".

Le ministre français a précisé que son gouvernement avait proposé à Renault et Nissan de réfléchir à la mise en oeuvre d'une "réponse industrielle coordonnée".

Le gouvernement français a demandé à Renault et Nissan de réfléchir à la mise en oeuvre d'une "réponse industrielle coordonnée" à la crise de Renault, a déclaré le ministre français de l'Economie et des Finances.

Le ministre a déclaré que son gouvernement avait proposé à Renault et Nissan de réfléchir à la mise en oeuvre d'une "réponse industrielle coordonnée"."Notre proposition est bien sur la mise en oeuvre de la restructuration et du redressement de Renault", a-t-il ajouté.

Le ministre français a précisé que son gouvernement avait demandé à Renault et Nissan de réfléchir à la mise en oeuvre d'une "réponse industrielle coordonnée". Il a souligné que son gouvernement avait proposé à Renault et Nissan de réfléchir à la mise en oeuvre d'une "réponse industrielle coordonnée".

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